L'ombre d'une amitié

Tu m’as dit que tu serais toujours là une amie présente dans toutes les situations, qu’il n’y aurai plus de mensonge entre nous.

Ce n’est pas la première fois que je pleure par ta faute. Je croyais que tu serais la seule a pas me faire pleurer. Tu disais que j’étais comme ta grande sœur que tu ne pourrais jamais me faire de mal, qu’au contraire tu serais là pour sécher mes larmes ou me faire retrouver le sourire.

Mais depuis bien longtemps, je souffre en silence. Et même si tu es à mes côtés tu ne le vois pas.

Suis-je devenue transparente alors que je me tiens à tes cotés. Tu ne vois pas que je pleure à tes côtés, que dois-je faire pour te faire réagir.

Ma tête me fait mal, mon cœur souffre, et je fini par m’éloigner de toi petit à petit pour diminuer cette douleur qui a envahi ma tête et surtout mon cœur.

Je veux plus être comme ça à cause de toi, je veux sourire et avancer en gardant les bons moments et oublier tout le reste. J’en ai ma claque de voir d’être prise pour une imbécile que tu as cru pouvoir continuer ainsi, que je continuerai à courir bêtement, des que tu en aurai besoin. J’ai aussi une fierté et une dignité que tu as piétinée, et sans t’apercevoir ce que tu pouvais faire comme mal. Ce que tu m’as fait je ne te le pardonnerai pas ou peu être avec le temps.

Parfois, souvent je me dis que j’aurai préféré que tu me gifle que la douleur disparaisse très vite et emmène notre amitié aux oubliettes, que ce que tu m’as fait car les mots ou même les silences sont plus douloureux et encré.

Tu vas finir comme ceux qui me disait être mon ami, et que quoi qu’il arrive je ne me laisserai pas partie, encore des paroles, qui sonnent fausses aujourd’hui.

Et malgré tout cela, je ne peux pas te haïr de m’avoir fait souffrir, je te souhaite d’être heureuses et d’avancer et trouver ce que tu cherches mais je suis dans le regret de te dire que j’arrête les frais.

Nos routes se sont croisées a une vitesse folles, tu continues d’avancer mais je me stop et prend un autre chemin, ou je pourrai avancer et m’ouvrir à des personnes qu’il le mérite, et qu’ils me feront pas souffrir.

J’ai passé assez de temps à attendre que tu me remarque que tu vois que je ne vais pas bien, car tu sais que je ne suis pas du genre à me plaindre et dire que tout va mal. Alors maintenant je te dis un simple adieu et bonne chance pour le reste de ta vie, mais ne t’attends pas à ce que je revienne comme une imbécile parce que tu auras besoin d’aide. J’ai fini d’être la toute souriante, alors que je suis mal et à faire tout pour t’aider et ne recevoir que reproche, et de me faire culpabilisé parce que je fais des choses.

Maintenant je dis STOP et me libère de ces chaines qui me font tant mal. Je veux m’envoler et sentir le vent me porté vers un monde meilleur sans toi.